03/05/2024

Algérie Football

Le football Algérien : Images – Vidéos et archives

EQUIPE D’ALGERIE : QUI SERA FUTUR SELECTIONNEUR – LES PISTES QUI RESTENT POUR LA FAF

coach algérie 2024
0Shares

EQUIPE D’ALGERIE –  Suite au départ non acté de Djamel Belmadi de la tête de l’équipe d’Algérie, tout le peuple algérien retient son souffle et s’impatiente pour connaître le nom du futur sélection et son staff. La Fédération Algérienne de Football ( FAF) aurait reçu une vingtaine de candidatures. La commission ad’hoc installée par le président de la FAF, M Walid SADI aurait retenu que 6 à 7 candidatures.

Parmi ces candidatures on peut retenir le nom du technicien portugais  et l’ancien entraîneur du Real Madrid et de l’Iran Carlos Queiroz. La candidature de ce dernier aurait été écartée pour des problèmes de santé). Il resterait alors deux pistes sérieuses. Il s’agit du suisse Vladimir Petkovic et du portugais, José Peseiro, qui a amené le Nigéria en finale de la CAN 2023 face à la Côte d’Ivoire.

 José Peseiro et sa carte visite

 Au dernières nouvelles, la fédération nigériane de football veut prolonger son contrat avec une revalorisation de son salaire. Peseiro a une bonne carte visite, le portugais a entraîné les sélection d’Arabie Saoudite, avec qui , il a commencé par deux défaites à domicile face à la Syrie et face au Kuweït ( En éliminatoires de la Coupe d’Asie). Il a pu ensuite redresser la situation. Il a eu une moyenne de 1,70 points en 23 matchs. Peseiro a ensuite entraîné le Vénézuéla, avec qui il a eu quatre défaites , trois matchs nuls et une victoire en 10 matchs.

En mai 2022, Peseiro devient sélectionneur du Nigéria. Il a joué 22 matchs. Et Il a perdu 7 matchs, il a eu une moyenne de 1,68 points par match. Ce qu’on peut retenir, est qu’e sélection, Peseiro commence mal son aventure. Et c’est un adepte du 4-4-2 du  3-4-3 et du 4-3-3. Aujourd’hui il est âgé de 64 ans.

Le Suisse d’origine Bosnienne a fait ses preuves avec la Suisse

Reste maintenant, le Suisse Vladimir Petkovic, qui est âgé de 61 ans. Il a su hisser la sélection nationale Suisse au haut niveau lors de son passage à la tête de la sélection entre août 2014 et juillet 2021. A l’exception des passages qu’il a eu à la tête du FC Sion et de Bordeaux, le reste de ses passages est plus que correct.

Petkovic a dirigé la sélection nationale Suisse 78 fois. Il a eu une moyenne de 1,79 points par match. Petkovic a eu 18 défaites avec la sélection Suisse (Un match se terminant par des tirs aux buts sera comptabilisé comme un match nul). Il a obtenu 42 victoires, et 18 matchs nuls. Le Suisse d’origine bosnienne est adepte de 3-4-2-1 et aussi du temps en temps du 5-3-2.

 Un vrai adjoint qui conseille bien le sélectionneur 

Sauf surpise du chef, le nom du futur sélectionneur national commencera par la lettre P. Et Petkovic est le plus probable. Il aura surement son propre staff technique, qu’il va amener avec lui. Mais la FAF compte lui imposer un entraîneur adjoint qui a l’expérience au niveau africain. On murmure des noms de Neghiz ou Madoui pour seconder le futur sélectionneur national. Il faut aussi le dire, un des points faibles de Belmadi c’est l’absence d’un vrai adjoint qui peut l’éclairer lors des moments difficiles. Chose qu’on a remarqué et mentionné sur notre site web depuis 2021. 

La piste du joueur local à réactiver 

Le futur sélectionneur national doit prendre les meilleurs joueurs et les plus en forme pour jouer le match le jour J. Et pas se contenter des noms, ou des joueurs qui manquent de motivation. Et ne pas négliger la piste locale pour dégager la meilleure ossature possible. Un joueur comme Zineddine Belaïd aurait eu un meilleur rendement dans l’axe que Tougaï. Ce dernier est en baisse de forme avec l’ESTunis et en sur poids. Belaïd aurait donné une grande satisfaction face à la Mauritanie. Il connait bien le contexte et le jeu pratiqué sur le continent africain, grâce à l’USMAlger avec qui il a gagné deux trophées. Idem pour l’ex milieu de terrain du CRBelouizdad Zakaria Draoui, il aurait dépanné l’équipe suite à la défection de Bennacer et surtout la baisse de niveau de Bentaleb. 

Si on revient vers l’arrière, Amir Sayoud aurait pu apporter un plus à cette équipe nationale en panne d’inspiration. Belmadi reprochait à Sayoud d’être un vrai numéro 10. Il l’a presque traité d’un “has been” lors d’un point de presse. Or, on l’a vu lors de cette CAN en Côte d’Ivoire, l’équipe d’Algérie n’avait pas un meneur de jeu capable de casser les lignes et d’orienter le jeu vers l’avant. algerie.football (MS)